Le passage d’âmes, c’est quoi…

Sujet abstrait, récent, dont on parlait peu avant. C’est un sujet qui ne s’apprend pas à l’école et dont on devient plutôt autodidacte dans le domaine. Faire du passage d’âmes est à mon avis plus que nécessaire. Il est avant tout une façon de dépolluer la planète en l’allégeant, en libérant ces âmes qui ne sont tout simplement pas dans le bon plan. Je vous raconte mon histoire ou plutôt mon cheminement…

                                      

 « Le passage d’âmes ou, voir la mort autrement » 

 

Il y a plusieurs années déjà, je commençais à recevoir des messages de défunts; ils me réveillaient la nuit pour que j’écrive leurs messages à livrer à certaines personnes…

Avec le temps, la méthode s’est raffinée en mettant mes limites sur la façon de me contacter. Maintenant, ils me contactent généralement le jour, quand je suis disponible pour écrire. Ces expériences, pour le moins troublantes au début, m’ont permis d’apprendre à en connaître un peu plus sur ces mondes invisibles. J’ai appris à ne pas juger les défunts, ni leur façon de mourir. Mon coeur s’est ouvert encore plus dans un grand sentiment de compassion envers eux; être « passeur d’âmes » fait maintenant partie de ma mission de vie.

Un jour, j’ai eu la chance de canaliser des Êtres de lumière de hauts niveaux qui m’ont beaucoup appris… Ils m’ont fait comprendre que nous (les humains), étions comme des pores de peau pour la planète. Et c’était là, l’une des principales raisons de veiller à être en harmonie et en santé, énergétiquement, émotionnellement, physiquement. Qu’il était très important d’être en santé globalement, car si chaque humain est rempli de blocages énergétiques et/ou émotionnels et que nous sommes des pores de peau de la Mère Terre… Il est évident que nous polluons la Terre rien que par ce que nous émanons. Y a de quoi réfléchir…

Je réalisais encore plus dernièrement que le mouvement environnemental ne devait pas se faire qu’au niveau de la couche d’ozone, des gaz à effet de serre ou des tonnes de plastique, etc… Ceci, nous devons -et j’en ai l’intime conviction- avoir cette même conscience environnementale autant avec la matière et la terre sur laquelle nous marchons que pour ce qui est invisible à nos yeux.

La terre est porteuse de milliards d’humains depuis son existence, depuis notre existence à travers la sienne. Sur tous ces humains, imaginez le nombre de personnes décédées de façons violentes, rapides, inattendues, dans la haine, la résistance ou le déni. Peu importe la façon dont ces gens sont jadis morts, il reste énormément d’âmes errantes qui cherchent encore leur chemin pour rejoindre la lumière… 

Quand les gens sont malades, soit physiquement, psychologiquement, violents, haineux, suicidaires, dépendants, consommateurs de drogues, d’alcool, etc, ils vibrent énergétiquement plus lentement et à un niveau très bas. Cela est prouvé scientifiquement. Ceux qui sont en santé, lumineux, positifs, aimants, qui ont une bonne hygiène de vie, etc, ceux-là vibrent énergétiquement plus rapidement et plus haut. Ce qui fait que les âmes errantes, pour vivre et s’accrocher à notre dimension ont le même genres de vibrations que ceux qui sont malades ou dans un état de mal-être sérieux. En s’accrochant ainsi, ils tirent leurs hôtes vers le bas; on parle ainsi de « parasitage » énergétique. Un peu le même principe que des puces sur le dos d’un animal. Ne dit-on pas que ces puces sont des parasites? Et de la même façon, le parasite pollue son hôte et l’hôte nourrit le parasite, un échange malsain et tellement inconnu…

Riche de toutes ces expériences, j’ai décidé d’oser mettre mes apprentissages aux services des âmes errantes dans le but ultime de leur permettre de retrouver la lumière et pouvoir ainsi les aider à poursuivre leur chemin. Je crois qu’anciennement, à une époque où les gens priaient leurs morts, où les gens prenaient le temps de les veiller, plus qu’on ne le fait aujourd’hui, où ils avaient foi en la prière, en une force supérieure, ils aidaient les défunts beaucoup plus qu’on ne le croit. Mais aujourd’hui, en ces temps rapides, où les gens apprennent de plus en plus à dire: Je t’aime mais ne savent plus dire: Au revoir… 

Les gens ne savent plus comment se tourner à l’intérieur d’eux, confondant l’intérieur à l’égoïsme. On transforme les obsèques de nos défunts en des rites funéraires inspirés du travail à la chaîne et du « chacun pour soi ». Socialement parlant, on vit dans un monde où la souffrance n’est pas acceptable, n’a pas de place, ni pour se vivre, ni pour s’exprimer. Souffrir est devenu presque une maladie dont il faut taire la douleur à tout prix. Et si la souffrance avait un sens? Et si la douleur était une façon de se connaître soi-même et de vivre le deuil?                Comme je dis souvent: Quand on fait du gros ménage du printemps, c’est avec de l’eau et une guenille. Quand on fait un grand ménage intérieur, c’est avec des larmes et des mouchoirs…

 

Projet DÉLIVRANCE

Suivez le calendrier d’événements, sous l’onglet « À venir » qui proposera, dès que terminé, un projet relatif au passage d’âmes. 

Mon but: Faire connaître et démystifier le passage d’âmes et enseigner aux gens les rudiments de cette action profondément et purement humanitaire pour sensibiliser de plus en plus de gens à cette réalité pour qu’ensemble nous puissions avec amour épurer lentement l’énergie de la terre ainsi que celle des humains.