Les Messages de l’Univers sont une formule de canalisation que je vous partage soit en groupe ou par écrit…
Ces messages captés, transmis par des Êtres de lumière, passent par mon canal pour transmettre leurs messages, que ce soit de façon plus spécifique (individuel) ou globale (en groupe).
Éventuellement, j’en écrirai quelques-uns sur mon site pour partager avec vous la beauté et la profondeur de leurs messages. Ils sont porteurs d’espoir, de renseignements et ils ont ceci de particulier: ils touchent spécifiquement ceux qui les lisent. Les lecteurs se sentent souvent interpellés par la teneur des messages; d’en-haut, rien n’est laissé au hasard…
Je vous invite donc à consulter mon site, sur cette page, régulièrement pour y lire les nouveaux messages transmis pour chacun de vous.
Bonne lecture!
« La naissance vue de Marie…
Mes très chers enfants, mon coeur est à vous partager ces précieux moments que j’ai vécus il y a de cela plus de deux mille ans. J’ose vous dire, et cela venant tout droit de mon coeur, que mon histoire vous touchera comme elle m’a touchée, jadis… L’idée jointe au verbe, il fut décidé dans les hautes instances que mon corps serve de véhicule pour l’arrivée de « Celui qui vient ». Je sentais chaque cellule fêter cette nouvelle; mon innocence et ma foi furent nécessaires à cette partie de ma vie et de la Sienne aussi puisque mon âme avait acquiescé à cette demande du Créateur. On m’avait choisie pour porter la vie, pour porter Sa vie. Mais j’allais devenir mère avant tout.
Dans ce que j’ai vécu, nombre de femmes se reconnaîtront. J’ai ressenti la peur d’être jugée à l’annonce de cette grossesse, par les gens autour de moi, même de mon propre époux; l’invraisemblance de cette histoire aurait pu achever notre union. Il n’en fut pas ainsi, heureusement. L’amour qu’il avait pour moi était si grand! J’ai aussi ressenti la peur des changements politiques et des effets néfastes sur nous qu’ils annonçaient. Nous avons suivi notre intuition; la fuite ou plutôt le déplacement a été notre refuge. J’ai dû accoucher dans l’instabilité de notre situation si précaire, la foi me donnait confiance en la perfection de la vie. Je ne pensais plus, je ne réfléchissais plus, JE SAVAIS… Profondément, avec conviction. Sans pouvoir dire quoi, ni pourquoi, une force guidait chacun de mes pas pour peu que je me laisse porter par elle, sans résister ni poser de question. L’inné devenait savoir… Je me souviens avoir vécu cet accouchement en toute conscience, comme nimbée d’une lumière douce qui éclaire et enseigne partout ou l’on pose le regard. De l’avoir vécu aussi avec douleurs et cris. La douleur permettant d’imprimer inconsciemment dans tout mon corps et mon être la valeur de cette vie. Et les cris servirent à évacuer, à harmoniser tous les paradoxes existants dans le précieux et le sacré de ce moment. L’intensité de la douleur, la force d’un corps qui porte la vie et la fait naître.
Une cohorte de petites boules lumineuses remplissaient l’endroit; discrètes et scintillantes, je sentais la présence des anges autour de nous… Mon enfant, le fruit de mes entrailles était béni. L’entrée en ce monde si misérable d’un enfant-roi venait transformer la face du monde et moi, les yeux mouillés de joie, d’amour et de tant de sentiments déchirés, je devenais mère du Fils de Dieu et celle de tous les hommes. Sans le savoir, dans mon corps de femme, dès que mon regard a rencontré celui de mon enfant, en cet instant précis, suspendu dans le temps, j’ai su, j’ai vécu le MIRACLE. J’ai compris le grandiose. J’ai été secouée amoureusement, des tripes à mon coeur; mes cellules et ma chair en portent encore l’empreinte et le détachement. Car moi aussi, comme vous toutes, j’ai vécu ces émotions chavirantes. Moi aussi j’ai eu peur pour mon enfant. Peur qu’on me l’enlève, qu’il soit malade ou que l’on ne puisse le protéger contre les dangers qui frappaient presque à notre porte.
Mon époux a connu la VIE à cet instant précis. Un chemin plus grand que le sien venait de se tracer devant lui sans le savoir; quand une vie apparaît, c’est toute une mort intérieure qui s’éveille. Devenir père fit de lui un homme meilleur; mourir à soi pour grandir dans l’amour. Comme tous les parents de la terre, nous aurions voulu un nid douillet au lieu de ce lit de fortune, improvisé dans la tourmente, étendus et cachés dans la paille d’une étable faisant office de château. C’est pourtant cette simplicité la plus totale qui nous a permis de survivre au massacre de nos frères et soeurs. C’est dans le chaos, la folie et l’horreur que les cris du coeur et les intentions sont si puissantes et pures, que naissent et se forgent alors les espoirs et les solutions. Quand un enfant naît, c’est tout l’espoir d’un peuple qu’il porte avec lui… Pour chaque femme, pour chaque homme, pour tous les parents de la terre, ayez foi, soyez conscients de l’amour qui vous porte et que vous portez. Car la venue d’un enfant décuple l’amour de ceux qui l’entourent et permet de semer cet amour dans toute sa puissance, autour de chacun et à perte de vue.
En ce temps de réjouissances et de renouveau, laissez-vous porter par cet enfant qui demande à renaître dans votre coeur. Faites-lui un petit lit de fortune à l’intérieur de vous et ouvrez-lui vos bras pour un instant. Le temps de déposer en vous la source infinie de Son amour.
Heureux temps de réjouissances et de paix…
Votre Mère, Marie »
(message canalisé de la Vierge Marie, par Nancy Rouleau)